
Dans un monde traversé par des transitions écologiques, numériques et technologiques majeures, la compréhension des sciences devient une compétence-clé. Pourtant, les résultats des enquêtes internationales mettent en lumière une tendance préoccupante : la perte d’intérêt pour les sciences dès l’adolescence.
Selon l’enquête PISA 2015 menée par l’OCDE, seuls 24 % des élèves français de 15 ans se disent intéressés par les sciences, contre 38 % en moyenne dans les pays de l’OCDE. Une tendance qui reflète non seulement une désaffection des jeunes pour les filières scientifiques, mais plus largement une déconnexion culturelle vis-à-vis des savoirs scientifiques. Une dynamique à inverser dès l’enfance. Avant l’âge de 7 ans, les enfants manifestent une curiosité scientifique spontanée. Ils posent des questions, expérimentent, manipulent. C’est à cet âge que se joue un moment décisif : la manière dont la science leur est présentée peut durablement influencer leur rapport à la connaissance.
Malheureusement, les formats scolaires traditionnels ne suffisent pas toujours à entretenir cette appétence. Il devient alors crucial de mobiliser les acteurs de l’éducation non formelle pour offrir des expériences scientifiques vivantes, concrètes, et enthousiasmantes. Et c’est leur mission, dans leurs 25 agences des Savants Fous, établies partout en France.
L’éducation informelle comme levier de transformation
Leur structure est spécialisée dans la médiation scientifique et joue aujourd’hui un rôle essentiel dans cette dynamique. Par une approche expérimentale, ludique et rigoureuse, Les Savants Fous permettent à l’enfant d’associer la science à une émotion positive : l’émerveillement, la découverte, le jeu. Ces moments renforcent l’appropriation des savoirs tout en développant des compétences transversales telles que l’esprit critique, la créativité ou la persévérance.
Un investissement stratégique pour les territoires
Soutenir l’éveil scientifique dès l’enfance constitue un enjeu éducatif, social et économique. Il s’agit de préparer une société plus apte à comprendre les grands défis contemporains, mais aussi plus équitable, en luttant contre les inégalités d’accès à la culture scientifique. Certaines collectivités territoriales intègrent déjà ces enjeux dans leurs politiques éducatives.
Ce mouvement doit aujourd’hui être renforcé et généralisé, notamment par l’insertion de parcours scientifiques dans les activités périscolaires et extrascolaires et la reconnaissance du rôle de l’éducation informelle dans les parcours de réussite. L’éveil scientifique ne peut plus être considéré comme une simple activité ludique : c’est un levier stratégique pour bâtir une société plus résiliente, plus éclairée et plus curieuse. Il est temps d’en faire une priorité collective.
À l’heure où les jeunes se détournent massivement des sciences (24 % d’intérêt déclaré en France à 15 ans, selon PISA), il est nécessaire de repenser la place des activités scientifiques hors cadre scolaire, comme proposées par le réseau des Savants Fous avec leurs 25 agences partout en France.
L’éducation informelle peut jouer un rôle clé : ateliers ludiques, animations expérientielles, médiation scientifique… Autant de formats capables de raviver la curiosité naturelle des enfants et de leur offrir des clés pour comprendre le monde. Dans cet article, une analyse des enjeux et des leviers d’action pour faire de la culture scientifique un pilier du développement éducatif, social et territorial.
Franchise Les Savants Fous
Les Savants Fous est une enseigne spécialisée dans la médiation scientifique qui propose des activités ludiques et engageantes pour éveiller la curiosité scientifique chez les jeunes. Grâce à un réseau de 25 agences sur tout le territoire français, elle offre des ateliers novateurs qui permettent aux enfants de vivre des expériences enrichissantes, favorisant ainsi leur compréhension du monde. Pour en savoir plus sur cette franchise passionnante, rendez-vous sur la page dédiée Les Savants Fous.