À 35 ans, Charles-Henri Boubert quitte une carrière stable dans le commerce du bois pour réaliser un rêve de longue date : entreprendre avec sa sœur Marion. Ensemble, ils rejoignent la franchise Pulp Immobilier, séduits par son esprit familial et son accompagnement de proximité.

Rencontre avec un franchisé qui a osé “tout quitter”
Que faisiez-vous avant de rejoindre Pulp Immobilier ?
Charles-Henri Boubert : J’ai passé 15 ans dans le commerce, principalement dans le secteur du bâtiment et des matériaux bois. J’ai été responsable de secteur pour une scierie alsacienne, spécialisée dans les bois de charpente, puis j’ai travaillé dans la fabrication de parquets massifs et la vente de fenêtres pour particuliers et artisans. Mon parcours a toujours été lié à l’univers de l’habitat, avec la relation client comme fil conducteur, un aspect que je retrouve pleinement dans l’immobilier aujourd’hui.
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Qu’est-ce qui vous a poussé à “tout quitter” ?
Charles-Henri Boubert : Même si j’aimais mon travail et mon entreprise, j’ai toujours eu en moi l’envie d’entreprendre. Avec ma sœur Marion, c’était un projet de longue date, que nous avons mûri en gagnant de l’expérience en tant que salariés. L’été dernier, à 35 et 36 ans, on a eu le déclic : c’était le bon moment. L’envie de créer quelque chose qui nous ressemble, ensemble, s’est imposée. Mon achat immobilier récent a aussi été un révélateur : j’ai adoré l’expérience, et c’est ce qui m’a amenée à découvrir Pulp Immobilier et à franchir le pas.
Pourquoi avoir choisi la franchise, et pourquoi Pulp Immobilier ?
Charles-Henri Boubert : J’ai découvert Pulp Immobilier en tant que client, puis grâce à ma compagne, responsable de secteur. Avec ma sœur, en pleine réflexion de reconversion, on a rencontré plusieurs réseaux, mais Pulp Immobilier nous a tout de suite séduits : une approche humaine, un vrai esprit d’équipe et un accompagnement de proximité. Le côté familial et la culture du collectif ont fait écho à nos valeurs. C’est ce qui nous a convaincus.
Comment s’est passée la transition entre votre ancienne vie de salarié et votre nouvelle activité de chef d’entreprise ?
Charles-Henri Boubert : La transition a été rapide et fluide : j’ai quitté mon poste un vendredi et commencé le programme de formation dès le lundi. On a été très bien accompagnés, ce qui nous a permis d’entrer vite dans le concret. Mon expérience dans le commerce m’aide beaucoup, notamment sur la relation client et les rendez-vous d’estimation. Marion, de son côté, apporte 15 années d’expérience en immobilier. On forme un duo très complémentaire.
Quel a été votre plus gros défi depuis votre lancement en avril 2025 ?
Charles-Henri Boubert : Le plus grand défi a été de sortir de ma zone de confort et d’apprendre un nouveau métier. Tout était à découvrir : les règles de l’immobilier, les outils, les démarches… Les premiers rendez-vous d’estimation ont été particulièrement challengeants. Heureusement, on est très bien entourés. Ce qui rassure, c’est le modèle de la franchise : on reste autonomes tout en étant soutenus, un vrai équilibre pour progresser sereinement.
Qu’est-ce que cette nouvelle vie vous apporte que l’ancienne ne vous offrait pas ?
Charles-Henri Boubert : Avec le recul, je sais que j’ai fait le bon choix. J’avais une situation confortable, mais il me manquait le challenge et la nouveauté. Aujourd’hui, je fais un métier passion, et pour moi, c’est essentiel : on travaille mieux quand on aime ce qu’on fait. Créer ma propre entreprise avant 40 ans était un vrai objectif de vie. Bien sûr, repartir de zéro demande de la confiance et du travail, mais avec une préparation sérieuse, c’est possible. Si on avait trop attendu avec ma soeur, on ne se serait peut-être jamais lancés.

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À quoi ressemble aujourd’hui votre quotidien de franchisé ?
Charles-Henri Boubert : Aujourd’hui, notre quotidien est très opérationnel : on gère la prospection, les estimations, les visites, jusqu’à la mise en ligne des biens. On exerce pleinement le métier de conseiller immobilier, car pour l’instant nous sommes deux à faire tourner l’agence. Notre objectif est de grandir rapidement : une troisième personne va bientôt nous rejoindre, ma mère, qui a une solide expérience dans le commerce. L’équipe commence à s’agrandir et ça nous motive encore plus à structurer notre activité pour aller plus loin.
Quel conseil donneriez-vous à quelqu’un qui hésite à tout quitter pour entreprendre en franchise ?
Charles-Henri Boubert : Beaucoup estiment que quitter un poste stable pour entreprendre dans le contexte actuel est risqué. Mon conseil : écoutez-vous et analysez bien votre projet. Si vous y croyez, lancez-vous, mais pas seul : l’accompagnement est la clé. La franchise est un bon compromis entre salariat et entrepreneuriat, avec un cadre rassurant, un réseau et une expertise qui accélèrent la réussite.
Notre résumé en 5 points clés par L’Express Connect IA
(vérifié par notre rédaction)
Voici un résumé en cinq points clés de l’article sur le sujet : “Avec Pulp Immobilier, ma reconversion a été fluide”
Transition de carrière inspirante : Après 15 ans dans le secteur du bâtiment et des matériaux bois, Charles-Henri Boubert décide de changer de vie, motivé par l’envie d’entreprendre avec sa sœur Marion. Il saisit une nouvelle opportunité après avoir vécu une expérience immobilière personnelle.
Choix de la franchise Pulp Immobilier : Séduit par l’esprit familial, le support proximité et l’engagement humain de Pulp Immobilier, il opte pour cette enseigne qui incarne ses valeurs, facilitant ainsi sa reconversion dans le monde de l’immobilier.
Transition rapide et accompagnement solide : La prise de poste s’est faite en un week-end, grâce à un accompagnement efficace et une formation dès le début, permettant à Charles-Henri de capitaliser sur ses compétences commerciales et à Marion, forte de 15 ans d’expérience en immobilier, de complémenter l’équipe.
Défis et satisfaction du changement : La principale difficulté a été d’apprendre un nouveau métier dans l’immobilier et de sortir de sa zone de confort, mais l’entourage, la solidité du réseau franchise, ainsi que l’autonomie rassurante l’ont aidé à progresser et à s’épanouir dans ce nouveau domaine d’activité.
Conseils pour ceux qui hésitent : Selon Charles-Henri, il faut écouter sa motivation, analyser son projet, et ne pas hésiter à se faire accompagner si vous posséder un intérêt pour l’immobilier par exemple. La franchise offre un cadre rassurant, idéal pour se lancer sereinement dans l’entrepreneuriat en bénéficiant d’un soutien remarquable et d’un réseau solide.