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Plante et prospectus de le franchise CrediPro

ActualitésFranchise CrediPro

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    Les dernières actualités de CrediPro

    Plante et prospectus de le franchise CrediPro

    L'édito exclusif de Philippe Crevel pour CrediPro

    LE CRÉDIT ET LA CONFIANCE

    La croissance économique est difficile à réduire en une série d’équations mathématiques. Elle est un jeu comportant un nombre quasi infini de combinaisons et demeure une grande inconnue pour les économistes comme pour les responsables politiques. Parmi les rares certitudes la concernant figure le fait qu’elle repose sur un triptyque magique à savoir le capital, le travail et le progrès technique. Sans un de ces trois éléments, point de croissance. Malgré les machines, les robots, le numérique, le travail demeure incontournable. Pour créer une entreprise, pour investir, le capital l’est tout autant. Le progrès technique, de son côté, permet de surmonter le principe de rareté qui s’applique à tous les facteurs de production. L’histoire économique, depuis le milieu du XVIIIe siècle, tourne autour de la recherche de la meilleure association  du travail et du capital. Plus vite, plus fort, plus efficient, telle est la devise du capitalisme contemporain. Aujourd’hui, cette devise est critiquée, voire critiquée. Pour autant, la croissance est toujours indispensable pour financer la transition énergétique, les retraites, la santé, l’éducation ou la défense.

    Le changement de dimension de la force physique et intellectuelle n’a été rendu possible qu’avec l’accroissement du volume de capital grâce en particulier à l’action des banques et de l’assurance qui remplissent des fonctions de mutualisation et d’intermédiation. Le crédit, jugé autrefois amoral, est devenu la clef de voûte de la croissance. Il permet aux entrepreneurs d’investir. Après son remboursement, il y a dans l’économie plus de richesses qu’avant, sous réserve évidemment que ceux qui en ont bénéficié n’aient pas fait faillite. Le crédit a besoin avant tout de confiance pour s’épanouir. Quand la confiance disparaît, le crédit se grippe et une crise survient. Le crédit est avant tout un contrat, un contrat qui lie des épargnants et des banques aux emprunteurs. Le sous-développement économique trouve une de ses causes dans l’absence de confiance et dans le non-respect du droit des contrats. L’inflation qui est la manifestation d’un déséquilibre entre offre et demande dans un contexte de création monétaire excessive représente également  un réel danger pour le crédit. En sapant la valeur des biens, des prestations, des actifs financiers ou immobiliers, l’inflation génère de l’incertitude sur le montant des remboursements. Elle contribue à fragiliser tous les contrats implicites et explicites au sein d’une société. Son emballement, dans le passé, a sapé les fondements de nombreux pays dont l’Allemagne dans les années 1920.

    UN INDICATEUR DU DYNAMISME DE L’ÉCONOMIE

    Le crédit est non seulement un pari ou une prise de risques mais aussi un indicateur économique. Une augmentation du volume de crédits souligne le dynamisme d’une économie, sous réserve que cette hausse ne soit pas la traduction d’une bulle spéculative comme au temps de la crise des tulipes en Hollande au début du XVIIe siècle. Le taux d’intérêt est un juge de paix permettant de sérier les investissements. Ce taux est fonction de la croissance potentielle, de l’inflation et du risque. Il dépend également des taux directeurs des banques centrales ainsi que de l’équilibre entre investissement et épargne. Un taux trop faible aboutit à financer des investissements improductifs. Un taux trop élevé empêche l’investissement et donc la croissance. Le taux d’intérêt se doit également de bien rétribuer l’épargne. Ces dernières années, les  taux d’intérêt ont été perturbés par les politiques monétaires non-conventionnelles puis par la lutte contre la hausse des prix. La désinflation en cours laisse entrevoir un retour à des taux déterminés par le marché et non plus par les banques centrales. Cette évolution constitue une excellente nouvelle pour les emprunteurs, les épargnants, les intermédiaires financiers et plus largement pour l’économie.

    6 Fév 2024Actualités de la franchise
    Plante et prospectus de le franchise CrediPro

    L'édito exclusif de Philippe Crevel pour CrediPro

    LE TEMPS DES OPPORTUNITÉS EST DE RETOUR

    La politique de lutte contre l’inflation engagée au milieu de l’année 2022 par la Banque Centrale Européenne porte ses fruits. En un an, au sein de la zone euro, le taux d’inflation est passé de 10 % à moins de 3 %. La potion a pu apparaître amère tant pour les entreprises que pour les ménages, l’accès aux crédits ayant été sensiblement durci et le coût de ces derniers augmenté. Depuis la création de la monnaie commune, jamais la BCE n’avait, en effet, relevé aussi rapidement ses taux directeurs. Cette politique monétaire restrictive a fortement pesé sur la croissance, la zone euro flirtant avec la récession. La France, grâce à la bonne tenue des services marchands, a néanmoins réussi à maintenir un minimum de croissance.

    À la fin de l’année 2023, le cycle de hausse des taux est arrivé à son terme. La BCE et la FED devraient dans le courant de l’année 2024, lancer un nouveau cycle en diminuant leurs taux directeurs. En zone euro, ces derniers devraient d’ici 2025 revenir autour de 2,5 % quand ils s’élèvent actuellement à plus de 4 %. Cette diminution constitue une bonne nouvelle pour le crédit et pour l’activité économique. La croissance devrait redémarrer au cours de l’année et de manière plus significative en 2025.

    « L’ÉCONOMIE, C’EST LE MOUVEMENT »

    En 2023, malgré la hausse des taux, les entreprises françaises ont maintenu, autant que possible, un niveau élevé d’investissement afin de rattraper le retard accumulé durant la pandémie. Elles ont poursuivi leur digitalisation et leur modernisation. La transition énergétique engendre également d’importants flux d’investissements. En 2023, ces derniers ont atteint 100 milliards d’euros. En 2024 et en 2025, avec des perspectives de croissance plus favorables, la croissance de l’investissement devrait s’amplifier. Ce rebond sera d’autant plus réalisable que la santé financière des entreprises françaises est correcte, leur taux de marge s’élevant à 33 %.. Si le nombre de défaillances d’entreprise tend, ces derniers mois, à s’accroître en France, il est simplement revenu à son niveau d’avant crise sanitaire, autour de 50 000 par an. L’explosion redoutée en 2021 n’a donc pas eu lieu. Il y a, en la matière, un simple retour à la normale. La création d’entreprises demeure, de son côté, vive. Plus d’un million d’entreprises sont créées en rythme annuel. Ce fort mouvement de créations permet le renouvellement du tissu économique et symbolise un réel esprit entrepreneurial au sein de la population. Les transports et l’entreposage, les services aux entreprises, les technologies de l’information et de la communication, l’artisanat (rénovation thermique), l’aide à la personne, ou encore les énergies renouvelables sont autant de secteurs qui sont à l’origine de nombreuses créations.

    L’économie, c’est le mouvement. Elle se modifie en permanence en fonction des besoins et des attentes. Face aux chocs encaissés ces dernières années, les entreprises ont fait preuve d’une remarquable résilience, illustrant la capacité de leurs dirigeants et de leurs salariés à trouver des solutions pour maintenir et développer leurs activités. Si les incertitudes économiques et géopolitiques restent importantes, elles ne doivent pas empêcher les entreprises d’innover et de se développer. Comme le soulignait Winston Churchill, « un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté. »

    6 Fév 2024Actualités de la franchise
    Plante et prospectus de le franchise CrediPro

    Pourquoi le courtage en financement professionnel a le vent en poupe ?

    Dans un contexte économique français en constante évolution bancaire, réglementaire et juridique, le rôle du courtier en financement professionnel se démarque de plus en plus comme un métier d’avenir. En facilitant l’accès au financement pour les entreprises, ces professionnels contribuent de manière significative au développement économique du pays et accompagnent les dirigeants d’entreprise dans leur prise de décision stratégique.
    Jetons un oeil sur 3 raisons pour lesquels ce métier représente une orientation pertinente pour celles et ceux qui veulent se lancer en franchise et s’engagez dans le développement économique des entreprises.

    La complexité des besoins financiers des entreprises
    Les entreprises françaises actuelles sont confrontées à des défis financiers de plus en plus complexes. Les projets d’expansion, les investissements en technologie ou les besoins en fonds de roulement nécessitent des solutions financières adaptées. Dans ce contexte, les courtiers en financement professionnel jouent un rôle crucial en comprenant spécifiquement les besoins spécifiques de chaque entreprise et en les mettant en relation avec les produits financiers les plus appropriés.

    Accès au financement et démarches simplifiées
    L’un des avantages majeurs offerts par les courtiers en financement professionnel est leur capacité à simplifier le processus d’accès au financement. Connaissant parfaitement le paysage financier français, ils guident les entreprises à travers les méandres des différentes options de financement, allant des prêts traditionnels aux solutions plus innovantes comme le financement participatif. Cette expertise contribue à accélérer les démarches, permettant aux entreprises d’obtenir les fonds nécessaires dans des délais plus courts.

    Les banques face aux défis du financement professionnel
    Les banques, en tant qu’acteurs clés du secteur financier, font face à des défis spécifiques dans le domaine du financement professionnel. La complexité croissante des besoins des entreprises nécessite une adaptation constante des offres de produits financiers. De plus, les exigences réglementaires de plus en plus strictes imposent aux banques de revoir leurs processus d’approbation, ce qui peut ralentir le processus de financement pour les entreprises.

    Ainsi, le métier de courtier en financement professionnel émerge comme un pilier essentiel dans le paysage économique français. En simplifiant l’accès au financement et en répondant de manière personnalisée aux besoins des entreprises, ces professionnels contribuent à stimuler la croissance économique. Cependant, les banques doivent relever le défi de s’adapter à un environnement financier en constante évolution pour accompagner efficacement le développement des entreprises françaises.

    Pourquoi le marché est porteur ?

    Le marché du financement professionnel est porteur pour plusieurs raisons :

    • La croissance de l’économie française, qui entraîne une augmentation des besoins de financement des entreprises.
    • La complexification des besoins financiers des entreprises, qui rend difficile pour elles de trouver les solutions adaptées par elles-mêmes.
    • Les exigences réglementaires de plus en plus strictes, qui ralentissent le processus de financement pour les entreprises

    En tant que courtier en financement professionnel, vous avez donc la possibilité de répondre à une demande croissante et de contribuer activement au développement de l’économie française.

    Quelques conseils pour devenir courtier en financement professionnel

    Si vous souhaitez devenir courtier en financement professionnel, voici quelques conseils :

    • Acquérir une solide formation financière
      Vous devez avoir une bonne compréhension des produits et des services financiers, ainsi que des différents acteurs du marché.
    • Développer votre réseau professionnel
      Vous devez être en contact avec des banques, des investisseurs et des entreprises afin de pouvoir proposer des solutions adaptées aux besoins de vos clients.
    • Acquérir une expérience pratique
      Vous pouvez commencer par travailler au sein d’une banque ou d’une société de financement professionnel.

    CrediPro, en tant que Réseau historique, leader sur le marché du financement professionnel (en nombre de franchises autant qu’en volume de prêt traîté) se place comme un interlocuteur de choix dans votre projet.

    21 Nov 2023Actualités de la franchise
    Plante et prospectus de le franchise CrediPro

    L'édito exclusif de Philippe Crevel pour CrediPro

    LE CRÉDIT, UN OUTIL MODERNE ET INCONTOURNABLE

    La France serait pénalisée en raison de la faiblesse des fonds propres de ses entreprises. Leur insuffisance expliquerait la difficulté des petites et moyennes entreprises à se muer en entreprises de taille intermédiaire. Cette antienne est exagérée voire sans fondement. En Allemagne, les entreprises sont, tout autant qu’en France, financées par crédits bancaires ce qui ne les empêche nullement d’être performantes. Si différence il y a, elle provient des liens que les PME allemandes tissent, au fil des années, avec les établissements financiers. Ces derniers jouent, outre-Rhin, un rôle important de conseil et de soutien auprès des entreprises. Les relations avec les entreprises se réalisent au plus près du terrain. La nature fédérale du pays y incite tout comme le maillage fin du territoire par les banques locales (Sparkassen). En France, le marché bancaire est plus concentré. La grande taille des établissements rend plus difficile la mise en œuvre du principe de subsidiarité. Les courtiers spécialisés dans les activités financières et notamment de crédits assurent de plus en plus cette fonction essentielle de conseil personnalisé, indispensable pour obtenir les financements adaptés aux besoins des entreprises et au meilleur coût.

    Au-delà des questions de distribution, il convient de souligner que le financement des entreprises par le crédit est préféré par les chefs d’entreprise car il est considéré comme moins aliénant que celui effectué par des apports de fonds propres extérieurs. Les fonds d’investissement exigent des rentabilités souvent bien supérieures aux taux des crédits bancaires. S’ils peuvent apporter un regard extérieur, ces fonds ont tendance à s’immiscer dans la gestion de l’entreprise. Les contraintes l’emportent sur les avantages au point que les chefs d’entreprise ayant fait appel à des fonds d’investissement faute de pouvoir  accéder au crédit bancaire, aspirent fréquemment, à retrouver, le plus vite possible, leur indépendance. Un prêt à taux fixe est une sécurité pour les entreprises. Si elles sont évidemment dans l’obligation de le rembourser, elles disposent d’un échéancier clair et préétabli, ce qui n’est pas toujours le cas avec un actionnaire ou un apporteur de fonds dont les exigences peuvent varier dans le temps.

    « L’accès au crédit pourrait ainsi, au cours du second semestre, être plus facile »

    La hausse des taux d’intérêt remettrait-elle en cause ce modèle de croissance ? Faudrait-il tirer un trait sur le financement des entreprises par le crédit bancaire ? Certes, les taux ont augmenté de trois points sur un an et les coûts d’endettement se sont accrus, mais il faut savoir raison gardée. Les taux d’intérêt n’en demeurent pas moins plus faibles qu’en 2014. Par ailleurs, compte tenu de l’inflation, ils demeurent, en valeur réelle, négatifs. Le processus de hausse devrait atteindre son apogée d’ici les prochains mois, l’inflation semblant avoir atteint le sien au cours du premier semestre. Il n’y a pas de crise de financement des entreprises. Leurs bons résultats constituent un gage de remboursement pour les banques qui peuvent, en outre, compter sur l’abondance de l’épargne. L’accès au crédit pourrait ainsi, au cours du second semestre, être plus facile, d’autant plus qu’une reprise de la consommation est attendue avec la normalisation de la situation sur le terrain des prix. La demande interne sera également stimulée par l’investissement porté par la décarbonation des activités et par le digital.

    Le crédit est l’outil clef du développement des entreprises. Son essor a permis celui de l’économie à la fin du XVIIIe siècle. Plus de deux cents ans plus tard, il demeure moderne et incontournable !

    Philippe CREVEL, Directeur du Cercle de l’Épargne

    12 Oct 2023Actualités de la franchise

    A propos de CrediPro

    CrediPro est le leader du courtage en crédit dédié aux entrepreneurs, quels que soient leurs projets et quelle que soit la taille de leur entreprise.

     

    Depuis 2009, notre Réseau a accompagné plus de 15 000 chefs d’entreprise pour près de 4 milliards de crédits obtenus. Avec plus de 150 courtiers présents en France, métropolitaine et DOM-TOM, CrediPro se réclame comme un interlocuteur de premier ordre pour les dirigeants d’entreprise.

     

    CrediPro poursuit son développement, sur un marché dynamique, avec de nombreux territoires encore disponibles, en proposant aux personnes intéressées une formation reconnue (grâce à sa certification Qualiopi) et un accompagnement quotidien (un pôle d’Expert Crédits aux côtés des franchisés lors de l’étude de leurs dossiers et de nombreux services supports).

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