Référencer sa franchise

Franchise, modèle inspirant pour les futurs entrepreneurs

4 Min. de lecture
Une multi-franchisé du réseau Citron vert parlant dans le podcast

Dans ce nouvel épisode du podcast En toute franchise, l’Express Franchise a reçu Anne Cros, multi-franchisé Citron Vert, un réseau d’Institut de Beauté.


Après une première partie de carrière dans les ressources humaines, elle ouvre son premier institut en franchise au début des années 2000. Très rapidement, elle multiplie les ouvertures jusqu’à compter huit points de vente de la même enseigne, tous en région lyonnaise, avant de réduire la voilure il y a quelques années. Aujourd’hui, à 61 ans, elle gère cinq instituts de beauté et partage régulièrement son expérience avec de futurs entrepreneurs, car Anne est convaincue, la franchise est un accélérateur de réussite. Son parcours, ses conseils pour entreprendre en franchise et réussir, ses projets, Anne se livrent dans cet épisode en toute franchise.

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Aviez-vous cette envie d’entreprendre depuis longtemps ?

Anne Cros : Je pense qu’elle a toujours été là. Très rêveuse, je me suis toujours demandée : qu’est ce que je vais faire de ma vie. Pour avancer, j’ai besoin de me projeter et d’aller de l’avant.

Vous avez eu l’opportunité de reprendre une franchise, racontez-nous comment cela s’est passé ?

A.C : J’ai intégré le réseau de franchise Citron Vert car il y avait une opportunité. La franchise, c’est un mode de fonctionnement que je connaissais d’expérience. Pour autant, je suis aussi allée à la recherche et à la découverte de ce milieu. La franchise m’intéressait car c’était un moyen de passer un cap, créer ma structure, mon entreprise, d’être indépendante au sein même d’une structure existante. J’avais accès à un concept éprouvé qui me permettait de me projeter.

Que vous a apporté l’expérience en franchise ?

A.C : Cela m’a apporté beaucoup de vie, de joie et d’enthousiasme. Elle me permet d’aller de l’avant, de me battre, mais dans le bon sens du terme, c’est-à-dire de construire et de réussir. Cela m’a permis de faire des rencontres : c’est une vraie richesse.

Est-ce que la franchise a été un accélérateur pour votre carrière ?

A.C : Oui c’est une évidence. Très souvent, quand je rencontre des candidats à la franchise, c’est ce que je mets en avant. Je le disais il y a quelques années, je le redis toujours : c’est cette structure autour de soi qui permet de se réaliser. Et c’est une chose que l’on ferait probablement différemment dans une structure en tant qu’indépendant.

Selon vous, y a t-il des pièges à éviter dans le monde de la franchise ?

A.C : Je ne sais pas si on peut parler de piège, mais ce qui est important c’est la préparation. Elle va passer par un temps d’observation, de rencontre et de partage. Il y a la bonne connaissance du milieu, des domaines d’activité et des personnes. Il faut aussi aller fouiner et être curieux. Et ça, c’est une étape clé qu’il ne faut pas squeezer. Et ensuite il faut passer à l’action. Il ne suffit pas d’aller vers les autres : si on n’a pas cette envie d’y aller, ce n’est pas l’autre qui va le faire pour nous.

Y a-t-il selon vous un profil type du parfait franchisé ?

A.C : Ce qui est intéressant dans un réseau c’est d’avoir autant de personnes que de profils différents, c’est aussi ce qui en fait sa richesse. Pour être entrepreneur, il faut oser et prendre quelques risques. Il faut une force de travail et de l’enthousiasme. Au début, j’ai donné de mon temps, au détriment peut-être de mes enfants lorsqu’ils étaient petits.

Au delà de ça, il faut des qualités d’ouverture, de gestionnaire, de manager, de commerçant et de commercial. On ne peut pas être bon sur tous les plans, on ne peut pas être excellent. Et ce n’est pas de l’excellence technique dont je parle, mais plutôt de curiosité, d’envie d’aller toujours plus loin et de mieux connaître les choses pour être le mieux armé possible pour avancer.

Cela a-t-il changé votre vie de devenir entrepreneur ?

A.C : Oui, mais cela s’est fait au fil du temps. Ma vie, je l’ai construite comme je l’aime aujourd’hui. Je pense qu’au plus profond de moi, j’avais cette envie de devenir entrepreneure. Et c’est ce vers quoi je voulais aller. C’était un peu le fil conducteur de ma vie et j’ai pu y arriver !

Envie d’en savoir plus ? Écoutez le podcast dans son intégralité ici

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