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Comment se démarquer sur le marché de la seconde main, l’exemple d’Happy Troc

Comment se démarquer sur le marché de la seconde main, l’exemple d’Happy Troc

Sur un marché de la seconde main de plus en plus concurrentiel, fort de 45 ans d’expérience, le groupe Happy Cash–Happy Troc s’est hissé au rang de leader européen. Marc Le Cavorzin, responsable du développement, explique comment. 


Et si, sur le marché de la seconde main, la clé de la réussite était cachée dans un bon “vieux” magasin ? « À l’heure où les ventes en ligne entre particuliers symbolisent la bonne affaire, beaucoup de consommateurs reviennent au besoin du lieu de vente », décrit Marc Le Cavorzin. « Une boutique où ils peuvent regarder, toucher, soupeser, comparer les objets, être assisté d’un vendeur et bénéficier d’un conseil. »

Son modèle économique, Happy Troc l’a hérité de son histoire. Une histoire qui a débuté à la fin des années 70, quand Internet ne comptait qu’une poignée d’utilisateurs avertis dans le monde. Le marché de la seconde main se résumait alors aux vides-greniers, et aux dépôts-ventes. Des lieux associés au froid, à la poussière, au désordre, rappelle Marc Le Cavorzin.  

« Se distinguer, c’est aussi faire oublier cette image. Traiter la seconde main avec les exigences du neuf. » Les commerces de la lignée de La Trocante et Troc de l’Île, ancêtres d’Happy Troc, ont régulièrement été modernisés pour répondre aux exigences des clients. Ils se sont mués en lieux chaleureux et ordonnés dans lesquels il est cependant toujours possible de dénicher de bonnes affaires et des “trouvailles”, résume le responsable du développement. 

La boutique physique offre aussi des avantages aux vendeurs : « pas de visites suspectes, pas d’appels douteux, pas d’annulation de rendez-vous à la dernière minute. Un professionnel les attend en magasin. » Il peut même se déplacer pour estimer le bien, le transporter, vider une maison, livrer un produit. « Chez Happy Troc, la seconde main n’a rien à envier au marché du neuf », replace Marc Le Cavorzin.

Dans cet esprit, des garanties de deux ans sont proposées sur tous les articles électriques et électroniques. Ainsi, « l’acheteur n’aura pas l’impression de jouer à la roulette russe ». Le vendeur peut aussi se rassurer : « la réputation commerciale du magasin l’oblige à acheter au meilleur prix », assure Marc Le Cavorzin. Quant à la transaction, elle est, de fait, sécurisée. 

« Parler réellement d’écologie » est un autre moyen de se démarquer sur un marché de la seconde main de plus en plus concurrentiel, met par ailleurs en avant le responsable du développement. « Dans nos magasins, le circuit court n’est pas qu’une formule. Les produits viennent d’un rayon moyen de 10 km alors que sur certains sites, les produits reconditionnés peuvent arriver d’Inde ou des Etats-Unis et donc avoir un bilan carbone similaire, voire pire, que celui du neuf. »

Happy Troc est également en train de développer des comptoirs Happy Repair, des ateliers de réparation de téléphones et de tablettes en particulier. « La mesure la plus écologique et économique est en effet de faire réparer son smartphone localement », défend Marc Le Cavorzin. 

Dernier “secret” dévoilé par le responsable développement du leader européen de la seconde main : « si se démarquer, c’est offrir une expérience client irréprochable en magasin, le client doit pouvoir poursuivre sa veille grâce au digital, sur les sites Internet du groupe. » Ces sites servent également de vitrine aux franchisés : ils y présentent leurs arrivages. La stratégie semble solide. En un chiffre : le retour sur investissement est de 4 ans, en moyenne, pour les franchisés.


(vérifié par notre rédaction)

Voici résumé en cinq points clés de l’article sur le sujet : Comment se démarquer sur le marché de la seconde main, l’exemple d’Happy Troc.

L’expérience client au cœur du modèle : Happy Troc mise sur la création d’un environnement de vente agréable, permettant aux clients d’explorer et de dégoter des objets de seconde main tout en bénéficiant de conseils. Cela aide à séduire ceux qui préfèrent le physique à la vente en ligne.

Modernisation de l’image de la seconde main : L’enseigne s’efforce de transformer les stéréotypes associés aux magasins de seconde main, en les rendant chaleureux et ordonnés. Son objectif est d’offrir une expérience d’achat comparable à celle des produits neufs.

Transactions sécurisées et garanties : Happy Troc offre une garantie de deux ans sur les articles électroniques, renforçant la confiance des acheteurs et leur évitant des surprises désagréables, tout en s’assurant que les vendeurs obtiennent un bon prix, ce qui solidifie la réputation de l’enseigne.

Engagement écologique : L’entreprise promeut le circuit court, avec des produits provenant principalement de la région, et développe des ateliers de réparation (Happy Repair) pour encourager la durabilité. Ces initiatives visent à minimiser l’impact environnemental des transactions.

Hybride entre physique et digital : Pour rester compétitif, Happy Troc combine une expérience client solide en magasin avec une présence en ligne, permettant aux clients de suivre les nouveautés. Leur modèle montre une rentabilité avec un retour sur investissement moyen de 4 ans pour les franchisés.

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