En 2025, impossible de faire l’impasse sur les outils digitaux, notamment dans le secteur de l’immobilier. Les mandataires 100 % digitaux se disputent le marché avec les agences physiques. C’est là que CityLife se distingue en misant sur la proximité, l’humain et l’expertise terrain, sans, pour autant, se passer des outils modernes.
Ouvrir une agence immobilière CityLife en centre-ville en 2025 ? C’est un grand oui pour l’enseigne. « C’est avant toute chose un gage de sécurité pour le client qui sait où nous trouver si besoin. Il connaît les horaires d’ouverture et peut ainsi passer au moment où ça l’arrange », explique Michel Cohen, directeur général de CityLife.
Cet acteur innovant du secteur vise l’ouverture d’une cinquantaine d’agences sur tout le territoire national. Elle regroupe des franchisés et des mandataires indépendants (500 collaborateurs). « Une agence physique, c’est également l’assurance d’une vraie connaissance du marché local et la possibilité de bénéficier de l’expertise de toute une équipe », insiste le directeur.
Une visibilité physique de l’agence immobilière qui continue de compter
Alors oui, CityLife s’appuie sur une stratégie digitale soutenue, avec une communication active sur les réseaux sociaux et les principaux portails immobiliers mais elle ne délaisse pas l’agence physique. « Il y a moins de “passage” qu’il y a 10 ou 15 ans », en convient Michel Cohen. Mais, même si les visites spontanées ont baissé, la présence dans la rue reste un élément de visibilité locale. « Le fait que les clients potentiels passent devant l’agence crée une notoriété et les appels sont très réguliers. »
L’hyper-local, pierre angulaire du modèle d’agence immobilière
C’est même vers “l’hyper-local” que se tourne Citylife. « Une approche “hyper-locale” est en premier lieu un réseau bien ancré auprès des commerçants et des partenaires, une communication digitale locale, une équipe sur le terrain », explique le directeur général.
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Les franchisés sont d’ailleurs formés à la relation de proximité avec des actions de terrain — porte-à-porte, rencontres avec les commerçants et acteurs locaux — ainsi qu’à relayer la vie du quartier sur les réseaux sociaux. Car les professionnels de CityLife se doivent de maîtriser les nouvelles technologies et les outils digitaux innovants. « Ceux-ci jouent un rôle extrêmement important. En effet, de nos jours, la quasi-totalité de nos outils sont digitaux et une grande partie de notre communication l’est aussi. »
Face aux mandataires immobiliers, la force du collectif
En 2025, la concurrence vient aussi des mandataires (comme SAFTI ou IAD) qui reposent sur un modèle entièrement digitalisé. Ces conseillers indépendants (auto-entrepreneurs), sans agence physique, travaillent depuis chez eux et publient leurs biens uniquement en ligne.
Les franchisés CityLife sont en concurrence directe sur certaines zones. « Mais nos agents sont au sein d’une équipe, donc détiennent un stock de mandats plus important, ils travaillent quotidiennement avec d’autres y compris en prospection. »
Le plus de CityLife pour s’en sortir : « Nos franchisés bénéficient d’un encadrement de travail qui leur permet d’accomplir la totalité de leurs missions. Si l’on considère le CA moyen des conseillers en agence en comparaison de celui des mandataires, on peut dire sans risquer de se tromper qu’ils s’en sortent mieux. »
CityLife cible les villes de 30 000 habitants
Même si CityLife est présent dans les agglomérations comme Paris ou Nancy, les villes moyennes sont au cœur du réseau. « Les villes de plus de 30 000 habitants sont notre cible. Elles allient la proximité avec la totalité des commodités (commerces, transports etc…). »
Et dans les villes où des agences historiques sont déjà présentes ? « CityLife ne vient pas en opposition aux agences historiques. Ce sont souvent des agences déjà implantées qui nous rejoignent et celles qui se créent le sont à partir d’une étude de marché qui démontre leur viabilité. »
“Chacun peut occuper la place qu’il souhaite”
CityLife s’ancre dans son époque avec un penchant pour le numérique sans oublier l’importance de la présence humaine dans le secteur immobilier. D’ailleurs, c’est ainsi que l’enseigne trouve son équilibre aujourd’hui et pour les années à venir. « Citylife (agences immobilières franchisées) avec sa branche My Citylife (réseau de mandataires) démontre notre volonté d’un modèle hybride où chacun peut occuper la place qu’il souhaite », conclut Michel Cohen.
NOTRE RÉSUMÉ EN
5 points clés de l'article
PAR L'EXPRESS CONNECT IA
(VÉRIFIÉ PAR NOTRE RÉDACTION)
Voici un résumé en cinq points clés de l’article sur le sujet : CityLife : le pari des agences de centre-ville à l’heure du 100 % digital
Modèle hybride entre physique et digital
CityLife combine proximité humaine, expertise terrain et outils digitaux, offrant une alternative aux réseaux 100 % en ligne et renforçant la confiance des clients grâce à une implantation en centre-ville.
Visibilité locale toujours déterminante
Malgré la baisse du passage en agence, la présence en rue reste un levier de notoriété. La vitrine génère des appels réguliers et consolide le rôle central de l’agence dans la stratégie locale.
Hyper-local au cœur du concept
Le réseau mise sur l’ancrage territorial : actions de terrain, liens avec les commerçants, communication digitale locale et formation des franchisés à relayer la vie du quartier.
Un avantage face aux mandataires digitaux
Face aux acteurs comme SAFTI ou IAD, CityLife met en avant la force de l’équipe en agence : plus de mandats, un cadre de travail structuré et, selon la marque, de meilleurs résultats moyens que les mandataires isolés.
Ciblage des villes moyennes et modèle évolutif
CityLife privilégie les villes de plus de 30.000 habitants et accueille aussi des agences historiques. Le réseau assume un modèle hybride avec My CityLife, permettant à chaque professionnel de choisir sa manière d’exercer.













