L’ouverture d’un centre d’électro-stimulation en franchise représente une opportunité intéressante pour les entrepreneurs souhaitant investir dans un secteur en pleine croissance. Cette méthode d’entraînement innovante séduit de plus en plus de sportifs et de personnes soucieuses de leur forme physique. Voici les différentes étapes pour ouvrir un centre d’électro-stimulation (EMS) en franchise et choisir une enseigne.
Les avantages du marché de la franchise en France
L’électrostimulation est une technologie qui utilise des impulsions électriques pour stimuler tous les groupes musculaires. Les résultats obtenus sont équivalents à 4 heures d’activité physique en seulement 20 minutes. Le concept innovant séduit les actifs urbains et les entrepreneurs. En effet, il est non seulement possible de bénéficier du savoir-faire d’une marque éprouvée, mais ouvrir un centre d’électro-stimulation offre plusieurs avantages aux chefs d’entreprise. Ce type de salle de sport peut être installé dans des locaux dont la surface ne dépasse pas les 100 m2 puisqu’il comprend une salle d’accueil, des vestiaires et un plateau pour les séances avec un coache diplômé d’état. 2 à 4 machines suffisent pour pratiquer une activité sportive encadrée. Ouvrir un centre d’électro-stimulation en franchise est surtout une sécurité pour l’entrepreneur qui pourra compter sur l’expertise et le soutien du franchiseur tout au long du projet.
Comment faire pour ouvrir une franchise ?
Une fois que le secteur d’activité a été défini, ouvrir un commerce en franchise est un moyen rapide de se lancer dans l’entrepreneuriat. Il faut cependant réaliser une étude de marché, cibler la zone de chalandise (centre-ville), rechercher un local commercial adapté, trouver le financement, choisir le statut juridique de l’entreprise, obtenir les autorisations ou licences liées à l’activité et signer le contrat de franchise. Il ne faut pas hésiter à se renseigner sur les conditions du franchiseur en consultant le DIP (Document d’Information Précontractuelle) avant de signer l’accord. Le franchisé a plusieurs obligations envers le franchiseur. Il doit notamment s’acquitter du droit d’entrée afin d’obtenir le droit d’utiliser la marque. Il faut aussi fournir un apport personnel ainsi qu’un investissement global qui serviront à couvrir les travaux d’aménagement, entre autres. Certaines règles entourant la communication, la création d’un site web, le marketing, le prix de vente ou l’approvisionnement des produits et équipements devront être respectées. De nombreux franchiseurs recherchent avant tout des candidats ayant une âme commerciale, avec ou sans expérience dans le domaine sportif pour développer leur activité sur le marché de l’électostimulation. C’est le cas d’Iron Bodyfit qui regroupe déjà plus de 130 studios d’EMS sur le territoire et Tecfit avec 8 studios sur l’ensemble du territoire.
Quel budget pour ouvrir un studio EMS ?
Avec pour objectif d’atteindre les 500 studios de bien-être et électro-stimulation en France, la marque Iron Bodyfit fait partie des leaders du secteur du fitness. Pour rejoindre l’entreprise, les candidats doivent payer un droit d’entrée de 35 000 euros et avoir un apport personnel de 25 000 euros. L’investissement global est de 120 000 euros pour un chiffre d’affaires de 240 000 euros en deux ans. Grâce à son modèle économique, la franchise d’électro-stimulation se révèle rentable. Elle a récemment remporté le prix « Meilleure Satisfaction Client 2024 » pour la troisième année consécutive dans la catégorie Salles de sport.
Ouvrir un centre d’électro-stimulation en franchise avec Bodyhit nécessitera 130 000 euros d’investissement global pour un apport personnel de 30 000 euros. Le réseau regroupe 130 implantations et le chiffre d’affaires d’un centre est estimé à 300 000 euros en deux ans. L’enseigne souhaite renforcer sa présence sur le territoire en ouvrant 30 nouveaux studios par an.
Pour constituer un apport personnel, les entrepreneurs peuvent se tourner vers différentes aides régionales et prêts d’honneur. Il est également possible d’opter pour un financement bancaire.