Entrepreneur dans l’âme, Quentin Tronel a multiplié les expériences dans des secteurs aussi variés que l’automobile, le bâtiment ou la restauration avant de trouver, avec Le 17.45, un concept qui lui ressemble. À la tête d’un premier établissement depuis un an dans le 17e arrondissement de Paris, il s’apprête à ouvrir une seconde franchise le 28 octobre 2025 à Lyon. Un projet guidé par le goût du défi, l’envie d’entreprendre et la confiance dans un concept en plein essor.
9questions à Quentin Tronel, franchisé le 17.45

Quel a été votre parcours avant de rejoindre la franchise Le 17.45 ?

Quentin Tronel : Je suis à mon compte depuis mes débuts. J’ai monté ma première entreprise à 21 ans, après seulement trois mois de salariat. J’ai dirigé des sociétés dans le bâtiment, l’immobilier, la location de voitures, etc. Avec Le 17.45, je n’ai pas changé de vie : j’ai simplement poursuivi mon chemin d’entrepreneur dans un secteur qui me plaît et où plaisir et rentabilité se rejoignent.

Qu’est-ce qui vous a poussé vers l’entrepreneuriat ?

Quentin Tronel : J’ai toujours eu besoin d’autonomie. Être salarié ne me convenait pas : je voulais créer de la valeur, prendre des décisions, trouver des solutions… C’est aussi une question de liberté. L’entrepreneuriat, c’est un moyen de se réaliser, de prendre des risques pour soi et de construire quelque chose qui nous ressemble.

Comment avez-vous découvert l’enseigne ?

Quentin Tronel : Par le bouche-à-oreille. Un ami m’a parlé du 17.45, un restaurant de planches apéritives qui se développait. J’ai testé le concept et j’ai immédiatement accroché. C’est convivial, chaleureux et surtout basé sur de bons produits. Les échanges avec le réseau ont été fluides, naturels et rassurants.

Qu’est-ce qui vous a séduit dans le concept ?

Quentin Tronel : Le 17.45, c’est un lieu dans lequel on a envie de travailler. Servir une belle planche, proposer du bon vin, discuter avec les clients, c’est agréable. Et puis, d’un point de vue gestion, c’est un modèle simple : pas de chef, pas de cuisinier, pas de dépendance à un poste clef. Tout repose sur la convivialité, le sens du service et la qualité du produit. C’est à la fois facile à prendre en main et très gratifiant à gérer au quotidien.

En quoi Le 17.45 se distingue-t-il des autres concepts de restauration ?

Quentin Tronel : On ne cuisine pas, on valorise les produits. C’est plus authentique, plus accessible aussi. La franchise insiste sur la convivialité : ils recherchent des franchisés capables de gérer le lien avec les clients. On finit souvent la soirée à discuter avec des clients qu’on ne connaissait pas deux heures plus tôt.

Comment s’est passée votre intégration dans le réseau ?

Quentin Tronel : Très bien. C’est une enseigne encore jeune, à taille humaine, et ça se sent. On a un interlocuteur dédié, des points réguliers, un vrai accompagnement. Le réseau est réactif, accessible. C’est un vrai confort, surtout quand on ouvre un établissement dans une grande ville comme Paris. On se sent épaulé, sans être bridé.

Quels ont été les principaux défis de votre lancement ?

Quentin Tronel : J’ai racheté un établissement existant donc j’ai évité les travaux et les aléas d’ouverture. Le plus compliqué a été la partie bancaire, l’obtention du financement. C’est toujours le nerf de la guerre. Le jour de la reprise, le restaurant était complet, l’ambiance était incroyable. Ce soir-là, je me suis dit que je ne m’étais pas trompé. Au contraire, j’avais trouvé un concept solide et un réseau qui me correspondait.

Comment abordez-vous l’idée de se lancer en franchise pour quelqu’un qui hésite ?

Quentin Tronel : Il ne faut pas hésiter. Le franchiseur est un partenaire mais c’est l’entrepreneur qui porte le projet. Il faut avant tout avoir envie d’entreprendre. Réussir en franchise exige de travailler dur, de ne jamais rien lâcher, de gérer son équipe et ses marges. Même si l’ambiance est conviviale, il faut rester sérieux et rigoureux. L’erreur serait de négliger ses finances ou ses marges.

Vous ouvrez bientôt un deuxième 17.45 à Lyon. Qu’est-ce qui vous pousse à poursuivre l’aventure ?

Quentin Tronel : Parce que ça se passe bien ! (sourire) J’ai envie de continuer à me développer, de dupliquer ce modèle dans une autre ville. Lyon, c’est une ville que je connais bien, où j’ai des attaches. C’est aussi une manière d’élargir mon activité tout en restant fidèle à un concept que j’aime. Et puis, quand on trouve une enseigne qui nous correspond, c’est naturel d’avoir envie d’aller plus loin, d’en ouvrir encore d’autres dans les prochaines années.
NOTRE RÉSUMÉ EN
5 points clés de l'interview
PAR L'EXPRESS CONNECT IA
(VÉRIFIÉ PAR NOTRE RÉDACTION)
Voici un résumé en cinq points clés de l’article sur le sujet : À la tête d’un second 17.45, Quentin Tronel savoure sa réussite de franchisé
Parcours d’un entrepreneur polyvalent
Quentin Tronel a exploré plusieurs secteurs – bâtiment, automobile, immobilier, restauration – avant de rejoindre Le 17.45. Autodidacte et indépendant, il revendique un parcours d’entrepreneur né, motivé par la liberté et la création de valeur.
Un concept convivial et rentable
Séduit par le modèle du 17.45, basé sur les planches apéritives et le bon vin, il met en avant la simplicité de gestion : pas de chef ni de cuisinier, une organisation fluide et centrée sur la convivialité et la qualité des produits.
Une intégration fluide dans un réseau à taille humaine
Le franchisé souligne la proximité et la réactivité du réseau Le 17.45. L’accompagnement personnalisé et la disponibilité du franchiseur sont perçus comme des atouts majeurs pour lancer et développer sereinement une activité.
Les clés du succès en franchise
Selon lui, la réussite repose sur l’engagement personnel : travailler dur, gérer rigoureusement ses marges et son équipe, sans se laisser tromper par la convivialité apparente du concept. L’entrepreneuriat en franchise reste une aventure exigeante.
Une expansion naturelle vers Lyon
Fort du succès de son premier établissement parisien, Quentin Tronel ouvre un second restaurant à Lyon, ville qu’il connaît bien. Un projet motivé par la confiance dans le concept et la volonté de poursuivre son développement dans un réseau en pleine croissance.













