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🎙️ « Ingénieur du son et manager d'une compagnie de danse, je gagnais bien ma vie, je faisais des tournées sympas et tout allait bien. Mais j'ai voulu tout changer et j'ai arrêté prématurément. À 30 ans, j'ai fait ma crise de la quarantaine en avance. J'ai décidé de suivre ma passion pour le vin, qui est venue naturellement après la musique et la danse. » Joris Fistolet, franchisé Cavavin.

🎙️ « Je me suis épanoui chez McDonald's où j'ai pu perfectionner ma prise de parole en public, en animant des sessions devant plus de 150 salariés en formation. Cette expérience m'a ouvert l'esprit et m'a permis de travailler sur divers projets, dont un qui me tenait particulièrement à cœur : la mise en place des bornes de commande chez McDonald's. En 2000, alors que ce concept était encore nouveau, cette initiative a été le point de départ de mon aventure entrepreneuriale. » Ghani EL FEGIR, multi-franchisé à succès.

🎙️ « Quand on est jeune, on a tendance à vouloir tout faire en même temps. Mais dans une journée, il n'y a que 24h et il faut dormir, avoir une vie sociale, étudier et travailler... Pour faire tout ça, il n'y a qu'une solution, apprendre à déléguer et surtout, se dire que si on n'a pas le temps de tout faire, il faut apprendre à prioriser. » Délia Le Berre, multi-franchisée Léonidas.

🎙️ « Au bout de quelques mois, après avoir vécu mon rêve d’entrepreneur, j’ai voulu retenter le salariat. Mais ce n'était plus fait pour moi... Quand on a été entrepreneur, c'est assez compliqué de faire machine arrière et de lâcher du leste sur les responsabilités et sur l'implication. Finalement, je pense qu'on a l’âme entrepreneuriale ou on ne l’a pas. » Mickael Di Luigi, franchisé X'PERT IMPACT.

🎙️ « Le déclenchement a été un peu brutal car j'ai été licencié, comme beaucoup d'ailleurs dans l'industrie pharmaceutique en 2005. À ce moment-là s'est posée la question de savoir ce que je pouvais faire, une question que se posent d'ailleurs beaucoup de Français : La reconversion professionnelle... Moi j'avais 46 ans à l'époque. » Rémy Legrand, fondateur de Groupe Ethique et Santé.

🎙️ « Ce qui m'a séduite dans le concept de Carrefour Proximité, c'est que chaque jour, tu croises des clients qui ont leurs préoccupations et qui partageant leurs peines et leurs moments de bonheur et toi, tu leur apportes ton soutien à ta manière. Ton échoppe devient leur unique rendez-vous quotidien, un moment privilégié où ils viennent acheter leurs kilos de pommes et leurs blancs de poulet. Cette réalité est d'autant plus vraie aujourd'hui. » Sandrine Magnier, multi-franchisée Carrefour Proximité.

🎙️ « Le fait d'être deux quand on crée son entreprise, c'est rassurant à tous niveaux : quand on a un problème ou que l'on veut prendre une décision, on échange à deux. Certes, on travaille beaucoup, mais le matin, quand on se lève, on est heureux d'aller au boulot et on essaye de faire en sorte que ce soit la même chose pour nos salariés. On fait tout pour qu'ils aient la patate et l'envie de faire de beaux projets. » Antoine Ausset, multi-franchisé SoCoo'c.

🎙️ « À l'époque, nous n'avions qu'une petite carte de visite et notre site internet n'était pas trouvable, seule ma mère le consultait ! Un jour, je me présente timidement dans une agence immobilière pour parler de notre concept et une cliente m'interpelle : "Tout est bouché chez ma fille, allez-y tout de suite !". À ce moment-là, nous n'étions pas encore organisés pour les interventions, nous n'avions même pas de quoi facturer... Nous y sommes allés à deux et avons mis sept heures à réaliser une intervention qui aujourd'hui, nous prend cinq minutes ! » Benoît Magand et Grégory Bonhomme, à la tête du réseau de franchise La Compagnie des déboucheurs.

🎙️ « J'ai un dicton qui dit "qui ne tente rien n'a rien". Dans les situations compliquées, on dit toujours qu'il faut en ressortir le meilleur, donc si demain ça ne marche plus l'entrepreneuriat pour moi , je me dis que je pourrais toujours rebondir du moment que j'ai la volonté et que je ne me se laisse pas abattre. Mieux vaut vivre avec des envies plutôt que des regrets.» Cécile Abel-Coindoz, franchisée Ô P'tit Môme.

🎙️ « Je m'éclatais dans mon ancien job, mais ce n'était pas à moi et personnellement j'ai toujours eu cette idée d'entreprendre, de créer des choses et de développer. Et le problème des grands groupes, c'est qu'ils ont rapidement leurs limites. Personnellement, j'avais besoin de m'épanouir en prenant mes décisions et en créant ma propre boîte.» Ludivine Ruozzi, franchisée JFG Clinique.